dimanche 24 juin 2012

Aladeen film or Aladeen film ?

(Vous comprendrez le titre seulement en allant voir le film, bon je n'ai pas fais de cours de marketing, j'écoute mon instinct pour utiliser des astuces afin de vous donner envie d'aller voir le film et puis AUSSI de lire mon article)

Ma maman me lance un "et si on allait voir The Dictator?".En toute bonne droguée de films, j'ai eu ma réaction d'addict : ma place était réservée dans la minute, manteau sur le dos, clés en mains, bip bip actionné, voiture ouverte, on saute dedans et c'est parti! Nous voilà dans la salle remplie de jeunes (eh ui ma maman et un monsieur assis au premier rang n'ont fait qu'augmenter la moyenne d'âge^^), on discute de ses anciens films, on échange sur les critiques et on démarre la séance avec des a priori.

Synopsis :

Isolée, mais riche en ressources pétrolières, la République du Wadiya, en Afrique du Nord, est dirigée d’une main de fer par l’Amiral Général Aladeen. Vouant une haine farouche à l’Occident, le dictateur a été nommé Leader Suprême à l’âge de 6 ans, après la mort prématurée de son père, tué dans un accident de chasse par 97 balles perdues et une grenade !
Depuis son accession au pouvoir absolu, Aladeen se fie aux conseils d’Oncle Tamir, à la fois Chef de la Police Secrète, Chef de la Sécurité et Pourvoyeur de Femmes.
Malheureusement pour Aladeen et ses conseillers, les pays occidentaux commencent à s’intéresser de près à Wadiya et les Nations Unies ont fréquemment sanctionné le pays depuis une dizaine d’années. Pour autant, le dictateur n’est pas du tout disposé à autoriser l’accès de ses installations d’armes secrètes à un inspecteur du Conseil de Sécurité – sinon à quoi bon fabriquer des armes secrètes ? Mais lorsqu’un énième sosie du Leader Suprême est tué dans un attentat, Tamir parvient à convaincre Aladeen de se rendre à New York pour répondre aux questions de l’ONU.
C’est ainsi que le dictateur, accompagné de Tamir et de ses plus proches conseillers, débarquent à New York, où ils reçoivent un accueil des plus tièdes. Il faut dire que la ville compte une importante communauté de réfugiés wadiyens qui rêvent de voir leur pays libéré du joug despotique d’Aladeen.
Mais bien plus que des expatriés en colère, ce sont des sanctions qui attendent le dictateur dans la patrie de la liberté…

Je me suis posée une question : c'est un film controversant ou une comédie hollywoodienne? The Dictator se moque-t-il de nos soit disant démocraties alors que tout n'est qu'objet de manipulation? Pourquoi avoir fait une fin à l'eau de rose, une happy end américaine?
J'en suis sortie avec un sourire crispé. Je ne sais pas si j'ai aimé ou si je n'ai pas aimé. J'ai entendu beaucoup de rires à cette séance dont celui de ma maman (qui n'a pas fait qu'augmenter la moyenne d'age mais également le niveau sonore^^). Le public est venu pour Sacha Baron Cohen et il a eu ce qu'il attendait!

(j'ai encore un instinct à peaufiner je crois, à moins que je vous ai donné envie d'avoir un sourire crispé?)

4 commentaires:

  1. Ca fait une heure que je suis sortie de salle du film. Moi j'ai bien aimé parce que j'aime rire. Mais je reconnais que sur certains sujets ils ont peut être exagéré quand même.

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    1. j'ai bien rigolé aussi c'est juste cet aspect américain qui m'a déplu. j'ai préféré Borat...

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  2. Je ne sais pas si ça me donne envie d'allé le voir. Ou alors, peut-être avec toi. Parce que c'est toi. Mais en tous les cas, ça me donne envie de te lire. Encore, toujours et d'avantage. Tu es ma reine. Et je t'aime.

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    1. Merci beaucoup, ça me touche énormément. J'espère toujours être à la hauteur, je t'aime aussi...

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